🇳🇿 Qui n’a jamais rêver de tout quitter et de partir au bout du monde pour se ressourcer, se retrouver ou abandonner les fantômes de son passé ?
🇳🇿 Installez-vous confortablement et partez à la découverte des traditions maories et l’histoire du « pays au long nuage blanc », laissez opérer la magie et la pudeur des sentiments.
🇳🇿 Direction la Nouvelle Zélande, sa faune et sa flore diversifiée, sa richesse culturelle.
🇳🇿 En quête de rédemption, Flore décide de déposer ses lourds bagages au Camping « Mutunga a te ao », le bout du monde. Elle va ainsi faire la connaissance de Milly et sa mère Autumn. Trois âmes égarées, fortes et fragiles a la fois, perdues, torturées. En échange du gîte et du couvert, elle va participer au rude travail quotidien.
🇳🇿 En communion avec la nature, face à l’océan austral et les rafales de vent, elle va s’abreuver d’un silence réparateur, observer ses drôles de voisins les manchots et otaries, admirer les magnifiques couchers de soleil et la danse des dauphins. Se dire qu’un jour, elle osera se jeter a l’eau pour les rejoindre et nager en leur compagnie.
🇳🇿 Ouvrir son cœur, dévoiler ses failles et ses blessures les plus profondes. Laisser derrière soi toute sa rancoeur et culpabilité, son sentiment de solitude et son cœur en miettes. Faire taire ses démons, ceux qui détruisent à petit feu. Déposer les armes, les douleurs ancrées.
🇳🇿 Pour enfin trouver la douceur, le réconfort, pour chasser ses vieux souvenirs et se pardonner les erreurs du passé. Pour renaître sous de lointains horizons, guérir sous l’affection de bras protecteurs. Repartir de zéro, retrouver le sourire et le goût du bonheur.
🇳🇿 Une lecture qui offre un dépaysement total. Nous donne envie de partir au bout du monde. Une lecture particulièrement contemplative pour vivre au ralenti, profiter du moment présent, se recentrer sur nos émotions et être toujours en admiration face à la beauté du monde qui nous entoure. Un roman tendre, profondément délicat et d’une sincérité déconcertante.
L’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?
Mes extraits :
• « On ne peut pas laisser ses parents vieillir seuls »
• Parfois on part pour mieux revenir. Le mouvement, le renouveau, c’est la vie »
• « Elle songe que le sentiment maternel, c’est quelque chose de doux et d’amer à la fois. On fait tout pour garder son enfant auprès de soi, l’empêcher de s’envoler trop loin, puis un matin on le voit pépier avec un autre oisillon et on ne sait plus ce qu’on ressent : un pincement au cœur ou un trouble attendri. Les deux à la fois »
• « Le passé, c’est sournois. Ça attend la nuit et l’obscurité pour s’infiltrer partout. La nuit est dangereuse, elle tourmente »
Ma note : 9/10